Pour résumer le concept de DEVELOPPEMENT DURABLE en quelques phrases, voilà ce que je vous propose:

"Répondre aux besoins du présent, sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs", ou bien

"Concilier la protection de l'environnement avec le développement économique et avec le développement social", ou encore

"Transformer les contraintes en opportunités".

Vous le voyez, le sujet est vaste! Mais ce n'est pas une raison pour ne pas s'y atteler! Je déclinerai prochainement les pistes de travail sur lesquelles chacun d'entre nous peut s'aventurer.

à Suivre...

Plus de 350 personnes -des salariés et leurs familles- se sont récemment retrouvées à la salle polyvalente de Gundershoffen pour suivre la conférence sur le Réchauffement Climatique animée par Jean-Louis IMBS. A l'issue de la conférence, tout le monde s'est réuni autour d'un buffet pour échanger des impressions et pourquoi pas prendre quelques engagements en faveur de l'environnement.

En 1990, peu avant la guerre dans l'ex Yougoslavie, j'ai pu voir le triste spectacle des ours bruns attachés à un poteau devant la maison de leur tortionnaire, le long de la route. Ces ours étaient destinés à "divertir" l'homme! On leur avait appris à "danser" en les faisant marcher sur des braises incandescentes! C'est aujourd'hui fini, interdit, impossible...en tous cas je l'espère.

Bulgarie / Protection des animaux

Les trois derniers ours dansants de l'Union européenne sont mis à la retraite d'office. Au grand dam de leurs propriétaires.<o:p></o:p>

A Getsovo, Velitchka Staneva, 58 ans, ne comprend pas pourquoi des associations de protection des animaux sont venues lui confisquer ses trois ours. « Ce sont nos enfants ! », proteste-t-elle en larmes devant sa modeste maison. « Qui a abusé d'eux, qui les a torturés ? », lance son fils Vesselin. Il allait de ville en ville pour faire danser les trois plantigrades. Leurs performances nourrissaient quatre générations de cette famille rom.
 Le neveu de Vesselin, Dimitar, embrasse Mima, une femelle de huit ans qui doit être anesthésiée pour le transport, sur 500 km. Pour libérer puis accueillir les ours dansants bulgares -25 au total dont 22 ont déjà été sauvés depuis 2000-, l'organisation autrichienne Vier Pfoten (quatre pattes) et la fondation de Brigitte Bardot ont aménagé un parc de 12 ha pour eux, à Belitsa. Forêts, clairières, douze grottes et sept lacs artificiels...
 Ils ont aussi généreusement rémunéré les propriétaires : entre 2 500 et 5 000 € par ours, soit le salaire annuel moyen en Bulgarie.
 Selon les protecteurs des animaux, les ours ont vécu dans des conditions pitoyables. Mima, Micho, 19 ans, et Svetla, 17 ans, avaient ainsi appris à se relever sur deux pieds et « danser » par la souffrance: des braises brûlantes étaient placées sous leurs pattes.
 Ils étaient de plus attachés à une lourde chaîne enfilée dans leurs naseaux -sensibles- et leurs ongles étaient régulièrement coupés, une opération douloureuse. Pour être plus dociles, certains étaient mal nourris et battus. <o:p></o:p>

Ils ne pourront pas retourner à l'état sauvage<o:p></o:p>

 Après leur arrivée à Belitsa, les ours ont du mal à s'habituer à la liberté. Ils sont nourris de tomates, de pommes, de poires, de carottes, de miel et n'apprennent que lentement à chercher eux-mêmes leur nourriture cachée dans le parc. Il faut aussi réapprendre l'hibernation. Ils ne seront jamais capables de vivre en dehors de cet habitat artificiel.
 Micho, Svetla et Mima étaient les derniers dans l'Union européenne. Mais il resterait des ours dansants en Serbie, en Russie et en Ukraine. <o:p></o:p>

DNA Édition du Dim 24 juin 2007 <o:p></o:p>

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La sensibilisation aux problèmes environnementaux doit naître au sein de la Cellule Familiale, puis se poursuivre à l'Ecole et se conforter au Collège et au Lycée.

Mettre en place un PROJET d'établissement autour du DEVELOPPEMENT DURABLE est un levier formidable pour l'équipe pédagogique de motiver les élèves!

Je peux vous aider à le mettre en place, en démarrant par une conférence sur le thème du réchauffement climatique, puis en vous proposant une méthodologie de conduite du projet: enjeux, thématiques, actions à mener, campagne de communication. Le tout adapté au niveau des élèves et focalisé sur leur environnement quotidien.

N'hésitez pas à me contacter jean-louis.imbs@laposte.net

Mon ami RINGO LORIER et ses compères seront présents au FESTIVAL DE JAZZ de LA PETITE PIERRE au mois d'août!

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Le pittoresque village des Vosges du Nord poursuit l'aventure de son festival estival. Sur six journées cette année, avec une très belle affiche.
Des salles archi combles l'an dernier - les concerts avaient été donnés sous abri en raison d'une météo capricieuse. Cet été, le festival compte bien renouer avec ses décors de vieilles pierres, et donner un maximum de concerts en plein air. La place du château, dans une vieille ville entièrement restaurée - elle sera inaugurée à la fin du mois -, qui surplombe à perte de vue une très belle vallée boisée, prêtera son cadre à la plupart des dix manifestations. <o:p></o:p>

L'Hijâz'Car, pour
finir en beauté<o:p></o:p>

Elles sont axées comme d'habitude sur la musique manouche, et plus généralement sur un jazz nerveux et inspiré. Avec Didier Lockwood en tête d'affiche - il sera, dans un hommage à Stéphane Grapelli, accompagné de Jean-Marie Ecay à la guitare et de Marc Michel Le Bévillon à la contrebasse.
Le violoniste, qui n'en finit plus d'étonner depuis ses débuts dans les années 70 avec Magma, revient ici à une forme sobre et acoustique pour honorer celui qu'il décrit comme le père du violon-jazz - une véritable légende, qu'il a côtoyée sur scène à plusieurs reprises. La soirée se poursuivra avec un ciné-concert du Alain Rellay Quartet, sur des images d'Enki Bilal.
La veille, l'ouverture du festival sera confiée, en plein air, au pianiste Jacky Terrasson, qui revisitera, en solo, Monk, Ellington et Jarret. Il sera précédé par la formation La Lucarne. Le dimanche, la placette se fait « terre manouche », avec Ringo Lorier, Tchavolo Schmitt et Titi Winterstein. Du Django et du rythme dans l'air.
Place lundi au dixie de New Orléans avec Les Céléstins, qui jouent Armstrong, Fatz Waller ou Bix Beiderbecke. Le mardi 14, une coproduction avec le festival de Fénétrange permettra de découvrir Louis Winsberg « Jaleo » dans un mélange de flamenco, de musique indienne, de danse, de chant et de ragga. Yaron Herman, petit génie du piano, est à l'affiche du mercredi. Avant l'Hijâz'Car, pour finir en beauté. <o:p></o:p>

J-L.W.<o:p></o:p>

 Du 10 au 15 août à La Petite-Pierre. Tarifs de 9 à 20 €. Pass festival : 60 et 65 €. Tél: 03 88 70 42 30 ou www.la-petite-pierre.com

Édition du Jeu 21 juin 2007 <o:p></o:p>