• CONFERENCES DE Jean-Louis IMBS

    (LISTE EN BAS DE PAGE)

    Jean-Louis IMBS rentre de l'Antarctique et animera une série de conférences en Alsace et en Moselle dès le 16 février. Les dons collectés à l'occasion de ces conférences iront à une association pour la protection des ours qu'il a créée au Canada.

    Il a en effet ouvert un centre d'interprétation sur les ours et leur écosystème à STEWART en Colombie Britannique (www.the-bric.org) où il reçoit 2500 visiteurs l'été (touristes, habitants de la région). Trois objectifs:  EDUQUER: bien se comporter au pays des ours pour éviter les conflits humains/ours.
    PROTEGER l'écosystème en l'occurrence les ruisseaux et rivières à saumon qui sont la nourritures des ours.
    RECHERCHER: identifier la population de grizzlys et les corridors de circulation afin de prévenir toute destruction de leur territoire. 

    Voici le thème de sa conférence: 

    "COMMENT VA LA PLANETE?"
    Conférencier international, grand connaisseur des régions polaires, Jean-Louis IMBS nous fera partager par des exemples concrets sa perception des impacts du changement climatique de l'Arctique à l'Antarctique en passant par l'Alsace.  

    "Penser globalement, agir localement": c'est le message que Jean-Louis souhaite délivrer en nous racontant son nouveau combat pour protéger les ours et leur écosystème face aux agressions humaines au Canada. Non la déforestation, le développement des activités minières ou encore l'exploitation pétrolière ne sont pas une fatalité. Oui l'engagement citoyen est nécessaire, oui nous pouvons changer l'ordre des choses, oui cela vaut la peine de se battre.

     

    LIEUX ET DATES:

    16 février à SOULTZ-Sous- FORETS

    20.15 à la Saline,

    place du Gal De Gaulle

     

    21 février SCHILTIGHEIM

    20.15 à l’auditorium de l’AGIPI

    12 avenue Mendes France

    Tram Futura Glacière, parkings à proximité

     

    2 mars 20.15 à SARREGUEMINES/NEUNKIRCH

    20.00 à la maison de quartier

    rue des Romains      

     

    14 mars 20.15 à BOUXWILLER

    au centre culturel

    5 place du château  

     

    16 mars à 20.15 à MARMOUTIER 67440

    Ecole maternelle

    rue du Mal Delattre de Tassigny

     

    20 mars 20.15 à HAGUENAU (et non le 21 comme indiqué par erreur)

    à l’ISFSI (institut de formation aux soins infirmiers)

    avenue du Professeur Leriche

    à côté de l’hôpital civil (parking hôpital)

     

    29 mars 20.15 à LORENTZEN

    La grange aux paysages

    Centre d'éducation à l'environnement

    rue principale

     

    3 avril à 20.00 à SARREBOURG

    centre socio-culturel 

    rue des Berrichons

     

    Les médias (EST FM, DNA, REPUBLICAIN LORRAIN, TONIC, FR3 ALSACE et LORRAINE, ALSACE20 TV, FRANCE BLEUE ALSACE) relaieront l'information.

    Au plaisir de vous revoir, Jean-Louis

     

     

     

     


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  • EDITO

    Informations sur le Centre d'Initiation à la Nature à STEWART en Colombie Britannique, le BEAR RIVER INTERPRETIVE CENTRE: http://bearfriends.kazeo.com

    Retrouvez JL IMBS sur FACEBOOK www.facebook.com

    L'HEURE EST GRAVE!
    Regardez cette vidéo, elle illustre le triste sort des ours polaires!
    http://www.youtube.com/watch?v=Kv9v9ALV3yk

     

     

    Bonjour chers amis!

    Que devenez-vous, lecteurs du blog POLARIS? Désolé pour cette absence prolongée. Mais à force de voyager dans des contrées reculées, l'on perd le contact avec son blog et ses lecteurs. Dans le grand nord canadien internet n'a que peu de chances de fonctionner, idem au Groenland et en Antarctique. Alors voilà, je profite d'une escale en Alsace pour une mise à jour.

    L'été passé au Groenland fut magnifique, soleil tous les jours, pleins de rencontres avec des Groenlandais sympas. On finit par se connaître après quelques été passés sur la côte ouest. Le glacier d'Iulissat fond plus que jamais et selon un scientifique américain rencontré sur place, l'océan se réchauffe. L'hiver dernier les ours polaires se sont aventurés plus au sud -faisait-il trop froid dans le nord, manquaient-ils de nourriture?-, toujours est-il qu'ils sont venus rôder autour des villages, avec les conséquences que vous imaginez: plusieurs ours furent abattus du côté de Nuuk la capitale, et plus au nord à Sissimiut.

    L'automne passé dans le grand nord canadien fut particulièrement pluvieux, très peu de soleil, et surtout très, très peu de saumons. Du côté de la Fraser River en Colombie Britannique les biologistes attendaient quelques 10 millions de saumons sokeye, seul 1 million fut au rendez-vous! Gros soucis en perspective pour les grizzlys de la côte Pacifique...  Pour les ours noirs et les kermodei bears ou spirit bears comme les appellent les Indiens, la forêt ne manquait pas de baies. Des Indiens m'ont averti de la présence d'une mères spirit bear avec ses deux rejetons. J'ai passé 3 jours sur place, en bordure de forêt, tantôt à l'affût avec ma caméra, tantôt en randonnée, mais sans les voir...il faudra revenir au printemps. 

    Là je rentre de l'Antarctique où j'ai passé décembre et janvier. Un été "normal", ni froid, ni trop chaud, même si de temps à autre la température sur la péninsule a atteint +12°C dans l'après-midi. début décembre nous n'avons rencontré aucune banquise, elle avait disparu, si ce n'est dans le cratère de l'Ile de la Déception, un endroit protégé des vagues et des courants. Les colonies de manchots me paraissent nettement moins peuplées que les années précédentes. Un ami ornithologue me dit qu'ils se déplacent, s'installent sur d'autres site de nidification pour échapper aux parasites qui envahiraient les nids après quelques saisons...Difficile de se faire une  opinion, d'avoir une image globale dans une contrée peu accessible, avec des manchots qui migrent entre leurs zone d'hivernage sur les îles sub-antarctiques et la péninsule où ils viennent se reproduire. Là aussi, il faudra revenir pour mieux comprendre ce qui se passe.

    Et bientôt, d'ici le mois de mai, ce sera l'évènement majeur: l'ouverture du BEAR RIVER INTERPRETIVE CENTRE, aussi appelé "theBRIC". Visitez le site http://amisdesours.blogspot.com. 

    Les ours polaires seront également représentés, et en 2011 une tournée d'information et d'éducation sera organisée dans les villages de l'Arctique, de la Mer de Béring à l'ouest à la Mer de Barents à l'est.

    Ces projets supposent des moyens humains et financiers. Nous recherchons des étudiants (biologie, zoologie, écosystèmes aquatiques etc) pour animer le centre. Des dons seront également les bienvenus. Pour tout renseignement: jl.imbs@laposte.net

     

     

     

     

     



     



     


     



  • THE BEARFRIENDS<o:p></o:p>

    imbs.bearfriends@gmail.com<o:p></o:p>

    http://bearfriends.kazeo.com<o:p></o:p>

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    DAS BEAR RIVER INTERPRETIVE CENTER IN STEWART <st1:country-region><st1:place>CANADA</st1:place></st1:country-region> <o:p></o:p>

    ZUM SCHUTZ VON GROSSBÄREN<o:p></o:p>

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    EINFÜHRUNG<o:p></o:p>

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    Das Bear River Interpretive Centre (BRIC) ist eine private Initiative des französichen Naturforschers Jean-Louis IMBS, der zeitweise in Stewart, British Columbia, Kanada, lebt (Seite 3).<o:p></o:p>

    Die Stewart Bear and Salmon Interpretive Center Gesellschaft ist die Dachorganisation, welche alle Operationen koordoniert (Seite).<o:p></o:p>

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    TATSACHEN<o:p></o:p>

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    Eisbären und Braunbären (Grizzly) sind Teile des Weltnaturerbes. Als Kinder bessassen wir alle einen Teddybären, benannt nach Theodore Roosvelt, Präsident der Vereinigten Staaten von Amerika und Gründer des Yellowstone Nationalparks.<o:p></o:p>

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    Eisbären verbringen ihr Leben auf und am Packeis, wo sie in erster Linie Robben jagen und ihre Jungen aufziehen, umgeben von einer rauen und eisigen Umwelt. Die USA haben den Eisbären erst kürzlich auf die Liste der bedrohten Arten gesetzt als positive Reaktion auf die sinkende Populationsgrösse. Im Gegensatzt dazu aber steht, dass die Trophäenjagd in Grönland und Kanada immer noch erlaubt ist.<o:p></o:p>

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    Wissenschaftler, welche die Unterzeichner der Vereinbarung zum Schutz der Eisbären von 1973 represäntieren, trafen sich in <st1:metricconverter productid="2009 in">2009 in</st1:metricconverter> Tromso Norvegen und präsentierten alarmierende Informationen über den Einfluss des Klimawandels, Schadstoffe und Verschmutzung auf die Eisbären und ihr Habitat.<o:p></o:p>

    Die Unterzeichnerstaaten anerkennen den Wert, den Tourismus für die ökonomischen und erzieherischen Entwicklungsziele darstellt (siehe auch http://bearfriends.kazeo.com)<o:p></o:p>

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    Bären durchstreifen immer noch die Wälder von Nordamerika (geschätzte 50'000 Braunbären in Alaska und Kanada) und die Arktis (etwa 22'000 Eisbären). Als Touristen schätzen wir alle ihren Anblick entweder in den Nationalparks oder auf dem artktischen Packeis. <o:p></o:p>

    Aber im Banff National Park ist die Grizzlybären-Population dramatisch geschrumpft von ehemals 1'000 Tieren auf 350. Grizzlies sind besonders von sauberen Wäldern und Flüsse abhängig, wo sie sich vor allem von Beeren un Fisch ernähren und wo sie ihre Jungen ungestört aufziehen können.<o:p></o:p>

     

    AUFGABEN<o:p></o:p>

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    Information und Wissen vermitteln<o:p></o:p>

    Es ist ausserodentlich wichtig, die Leute richtig zu informieren und Wissen zu vermitteln über die Ökologie von Bären und ihren Lebensraum, um dadurch die Konflikte zwischen Mensch und Bären zu verringern. Schule, Gemeinden und andere Zielgruppen wie beispielsweise Jäger, die Holzindustrie und Minengesellschaften müssen besucht und richtig informiert werden.<o:p></o:p>

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    Es ist ausserdem von grösster Wichtigkeit, die Leute über den Klimawandel, der durch menschliche Aktivitäten gefördert wird, und über die chemische Schadstoffe, die durch die Industrie in die Natur gelangen, und deren negativen Einflüsse auf die polaren Gebiete und deren Tierwelt (auch auf Eisbären) zu informieren.<o:p></o:p>

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    Schutz des Lebensraums<o:p></o:p>

    Einfache Massnahmen, die dem Schutz des Lebensraumes dienen und den Bären mehr Ruhe geben, können ergriffen werden, wie beispielsweise das Schliessen von Zufahrtstrassen zu möglichen Schutzgebieten (alte Holzfäller- und Minenzugangswege), das Erstellen eines Moratoriums für den Bau neuer Strassen oder das Umzäunen von Abfallhalden in Bärengebieten.<o:p></o:p>

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    Schutz einzelner Individuen<o:p></o:p>

    Aufzuchstationen für Bärenwaisen helfen, das überleben zu sichern und sie später wieder in die Wildnis einzugliedern. Geld aufzutreiben zur Finanzierung dieser Stationen ist Teil der Aufgaben des Centers.<o:p></o:p>

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    MASSNAHMEN ZUR AUFGABENBEWÄLTIGUNG<o:p></o:p>

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    Informieren und Unterrichten der Leute<o:p></o:p>

    Das BRIC wird stark interaktiv mit Hilfe von Vorträgen, Trainingsprogrammen, öffentlichen Auftritten, Büchern, DVD, Handzetteln, Postern und den Medien auf die Menschen zugehen.<o:p></o:p>

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    Schutz des Lebensraums:<o:p></o:p>

    Vorträge und Trainingsprogramme für die Mitarbeiter der Holzindustrie, der Minengesellschaften, der Fischerei, der Bauindustrie und der Strohmindustrie sollen durchgeführt werden in Absprache mit den Firmen, die in Bärengebieten operieren.<o:p></o:p>

    Um dies durchführen zu können, wird das BRIC in engem Kontakt mit den Firmen stehen, um ihre Mitarbeiter richtig auszubilden für die Arbeit in Bärengebieten.<o:p></o:p>

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    Rettung von Einzeltieren<o:p></o:p>

    Die Northernlight Wildlife Rettungsstation in Smithers, British Columbia, hat sich der Aufzucht von Bärenwaisen angenommen. Der Station zu helfen, Gelder zu sammeln, Nahrung für die Bären zu beschaffen und allgemeine Arbeiten durchzuführen, ist Teil der Aufgaben des BRIC.<o:p></o:p>

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    DAS BEAR RIVER INTERPRETIVE CENTER, Stewart, British Columbia, Kanada, wird ab Mai 2010 eröffnet sein!<o:p></o:p>

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    Stewart in British Columbia und Hyder in Alaska sind zwei kleine Gemeinden am oberen Ende des Portland Kanals, der die Grenze zwischen Südost-Alaska und Nordwest-British Columbia in Kanada markiert (der gepunkte Grenzverlauf entlang des Fjordes kann sehr einfach auf einer Karte erkannt werden). Das Gebiet ist das Tor zum Tongas Nationalpark, einem Bärenschutzgebiet.<o:p></o:p>

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    Stewart bietet die richtige Stelle an der Hauptstrasse (dem Highway nach Hyder, Alaska), wo sich das BRIC am Besten für Reisende präsentieren kann.<o:p></o:p>

    Dort kann das BRIC sowohl die einheimische Bevölkerung wie auch die Touristen erreichen, um sie genauer über die Lebensweise und die Biologie der Bären, über Interaktionen zwischen Bären und Menschen, über aktuelle Forschungsergebnisse und über allgemeine Sachverhalte zum Thema „Bären“ zu informieren.<o:p></o:p>

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    Zusätzlich möchte das BRIC die Schönheit und die Zerbrechlichkeit unsere Lebensräume aufzeigen, um so ein tieferes Verständnis der Öffentlichkeit für die Gefahren, welche die Grossbären bedrohen, zu erreichen.<o:p></o:p>

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    Tausende von Touristen (20'000 pro Jahr) aus Europa, Nordamerika und Asien kommen in dieses abgelegene Gebiet um Schwarzbären, Grizzlies und den seltenen Geisterbären (Kermodei) zu beobachten.<o:p></o:p>

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    Um auch die Leute in extrem abgelegenen Gebieten erreichen zu können, muss mindestens eine Person in diese Gebiete reisen, wo negative Begegnungen zwischen Bär und Mensch beinahe zur Tagesordnung gehören. Dazu zählen die hocharktischen Regionen für Eisbären und subarktische Gebiete plus die pazifischen Regenwäldergebiete für den Grizzly.<o:p></o:p>

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    DIE STEWART BEAR AND SALMON INTERPRETIVE CENTER GESELLSCHAFT<o:p></o:p>

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    Die Stewart Bear and Salmon Interpertive Centre Society (SBSICS) ist eine gemeinsame Initiative zwischen den Bärenfreunden und der Stewart Salmon Enhancement Society (Gesellschaft für den Schutz der Lachse).<o:p></o:p>

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    Die SBSICS ist die Dachorganisation, welche alle Massnahmen koordiniert.<o:p></o:p>

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    Da die Umwelt nicht nur ein Studienobjekt ist, sondern auch ein Raum, den sich Mensch und Tierwelt teilen, wird das Fördern von ökologischen Werten und einem verbesserten ökologischen Bewusstsein immer wichtiger.<o:p></o:p>

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    Daher soll das Bear River Interpretive Center (BRIC) eröffnet werden: Bären und Menschen durch verbessertes Wissen und Schutz miteinander zu verbinden ist das höchste Ziel des Centers. Bären, Lachs und die Tielwelt im allgemeinen verdienen unser höchstes Interesse, den nötigen Respekt und unseren Schutz.<o:p></o:p>

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    EXECUTIVE MITGLIEDER<o:p></o:p>

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    Jean-Louis IMBS<o:p></o:p>

    Naturforscher, Polarführer<o:p></o:p>

    Weinbourg, Frankreich / Stewart, BC<o:p></o:p>

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    Dr Anne-Christine HEINTZ<o:p></o:p>

    Naturschutzexpertin<o:p></o:p>

    Weinbourg, Frankreich / Stewart,  BC<o:p></o:p>

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    Barbara IMBS<o:p></o:p>

    Anwältin<o:p></o:p>

    Strassen, Luxembourg<o:p></o:p>

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    Frank CAMMERMANS<o:p></o:p>

    Unternehmer<o:p></o:p>

    Stewart, BC<o:p></o:p>

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    Debbie KRETZMAR<o:p></o:p>

    Unternehmerin<o:p></o:p>

    Stewart, BC<o:p></o:p>

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    BERATER-BOARD<o:p></o:p>

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    Das Berater-Board beinhaltet verschiedenste Pesönlichkeiten aus den unterschiedlichsten Bereichen wie Politik, Wirtschaft und Naturwissenschaften. Alle Boardmitglieder glauben an eine nachhaltige Welt und engagieren sich für eine bessere Umwelt.<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Mitglieder:<o:p></o:p>

    M. Rudolf SCHUSTER<o:p></o:p>

    President of the Slovak Republik (1999-2004)<o:p></o:p>

    Ambassador for Tchekoslovakia to <st1:country-region><st1:place>Canada</st1:place></st1:country-region> (1990-1992)<o:p></o:p>

    <st1:city><st1:place>KOSICE</st1:place></st1:city> <o:p></o:p>

    <st1:place><st1:placename>Slovak</st1:placename> <st1:placetype>Republic</st1:placetype></st1:place><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Univ. Prof. Dr. Med. Hans-H. SIEVERS<o:p></o:p>

    Director Uni-Clinic of cardiac and aortic surgery<o:p></o:p>

    LÜBECK<o:p></o:p>

    <st1:country-region><st1:place>Germany</st1:place></st1:country-region><o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    M. Jo TIMMERMANS<o:p></o:p>

    Entrepreneur<o:p></o:p>

    HERTOGENBOSCH<o:p></o:p>

    Netherlands<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    M. BIRGISSUN GUDMUNDUR<o:p></o:p>

    Entrepreneur<o:p></o:p>

    Iceland<o:p></o:p>

    M. Les DEACON ROGERS           <o:p></o:p>

    Government Agent (retired)<o:p></o:p>

    STEWART<o:p></o:p>

    <st1:country-region><st1:place>Canada</st1:place></st1:country-region><o:p></o:p>

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    SPONSORING<o:p></o:p>

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    Um unsere Mission erfüllen zu können, benötigen wir selbstverständlich die Unterstützung von allen, privaten Personen und Firmen. Deren Beiträge und Spenden finanzieren:  <o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    Die Eröffnung des Bear River Interpretive Center<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

                                                               Das Erstellen von Bücher, DVD, Poster<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

                                                               Lernprogramme für Schulen<o:p></o:p>

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                                                               Feldforschungsprogramme<o:p></o:p>

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                                                               Die Rettung von Bärenwaisen<o:p></o:p>

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    KONTAKT:<o:p></o:p>

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    Postverbindung:<o:p></o:p>

    SBSICS (Stewart Bear and Salmon Interpretive Centre Society)<o:p></o:p>

    5th Avenue<o:p></o:p>

    STEWART BC<o:p></o:p>

    VOT 1W0 Canada<o:p></o:p>

    <o:p> </o:p>

    imbs.bearfriends@gmail.com<o:p></o:p>

    http://bearfriends.kazeo.com<o:p></o:p>

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    Bankverbindung: imbs.bearfriends@gmail.com


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  • ENVIRONNEMENT ET DÉVELOPPEMENT DURABLE

    JARNY : QUI VEUT SAUVER LA PEAU DE L’OURS ?

    A peine l’opération "Ça va chauffer" s’est-elle conclue à Jarny, que d’autres écologistes en herbe envahissent le parc de Moncel. Le développement durable était également à l’honneur à l’espace Gérard-Philipe.

    L’opération "Ça va chauffer" à Jarny vient à peine de toucher à sa fin, ce jeudi. Et déjà hier, la ville de Jarny accueillait une nouvelle fournée d’enfants à la main verte : 500 élèves du CP au collège viennent de Jarny, Champigneulles, Dombasle-sur-Meurthe, Pont-à-Mousson, Tantonville ou encore Saint-Max, répartis entre le château de Moncel et l’espace Gérard-Philipe. «Douze classes volontaires de tout le département ont pris part à ce projet d’accompagnement aux technologies de l’information et de la communication pour l’éducation, détaille Stanislas Adamkiewicz, directeur du centre départemental de documentation pédagogique de Meurthe-et-Moselle (CDDP 54).Les écoliers ont choisi un sujet sur l’écologie et ont produit un écrit sur ce thème, mis ensuite en ligne sur un site d’écrivain public. Ainsi, chacun a pu consulter les travaux des autres. »

    Après avoir partagé des connaissances de manière électronique, les enfants ont donc profité des ateliers, déjà en place dans le parc de Moncel : «Cette journée est une sorte de récompense, estime Philippe Langlois, enseignant rattaché au centre régional de documentation pédagogique (CRDP). Le but de cette rencontre physique : que les gamins soient actifs et qu’ils se prêtent à la manipulation.» Et les intéressés ne s’en privent pas. Ils sont sur tous les fronts : découverte des énergies renouvelables, jeux d’enfants en version écolo, décollage de fusée à la force de l’air comprimé et de la force musculaire…

    <xintertitrefilets style_sheet="IntertitreFilets">L’été sans banquise</xintertitrefilets>

    Dans le même temps, l’autre versant de la manifestation se déroule à l’espace Gérard-Philipe, dans Jarny même. Jean-Louis IMBS y tient conférence pour aborder le réchauffement climatique. Une conférence pour attirer des écoliers et collégiens ? «Pour les intéresser, je pars de l’histoire de l’ours. Lorsqu’il pêche le phoque, l’animal fait un trou dans la glace, décrit le naturaliste. Désormais l’été ce n’est plus possible, car la glace fond. Et si l’ours n’a plus de banquise, c’est dû aux habitudes que nous avons ici, et qui se répercutent là-bas. »Le spécialiste de la nature en profite pour faire le lien avec l’actualité : « D’ailleurs, les conséquences, nous les subissons déjà. Rien que les inondations de la semaine passée… »
    Dans la foulée, Jean-Louis Imbs procède à un tour d’horizon des thématiques environnementales : les économies d’eau, d’électricité, les gestes simples… Le public, attrapé par les pattes de l’ours, est conquis. Mais est-ce suffisant ? «Si 10 % de ces élèves sortent d’ici en se sentant concernés, c’est déjà bien ! »
    Dès la semaine prochaine, Jean-Louis Imbs s’en ira à nouveau au Groenland, puis sur l’île de Spitzberg, en Scandinavie, pour poursuivre son combat en faveur de la nature : «Mes activités coûtent de l’argent. Je pars du principe que cela devra s’arrêter quand, un jour, j’aurais convaincu suffisamment de monde…»

    X. J.

    Publié le 21/06/2008


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